L’exposition de cette statue (que Rodin avait nommée dans un premier temps Dante) suscite de nombreuses railleries dans la presse, qui en fait un symbole du socialisme. En réaction, une souscription nationale est lancée pour la réalisation d’une version en bronze qui sera érigée devant le Panthéon et inaugurée en grandes pompes le 21 avril 1906. La statue sera par la suite (1922) transférée avec son socle dans la cour d’honneur du musée Rodin (l’hôtel de Biron, devenu musée en août 1919). Un autre exemplaire de cette statue a été réalisé pour la tombe de Rodin à Meudon.
mardi 27 janvier 2009
la pyramide de khéops
samedi 17 janvier 2009
La maison winchester
maison Winchester est une immense demeure californienne de plus de 160 pièces. Personne n'en connaît le nombre exact avec certitude, et il est impossible de s'y déplacer sans un plan, au risque de se perdre... Un vrai labyrinthe... Sarah Winchester, épouse du créateur de la Winchester Company, commence la construction de cette maison en 1884. Une construction ininterrompue, 24 heures sur 24, pendant 36 ans, jusqu'à sa mort en 1922. Toute sa fortune y est passée. Elle l'a entreprise après le décès de son mari, lorsqu'un médium la met en relation avec l'esprit de celui-ci qui lui annonce qu'une terrible malédiction plane sur elle, celle des morts frappés par les carabines Winchester. L'esprit lui a dit de construire une maison destinée à loger les âmes des hommes tués par la Winchester et qui réclament vengeance. Tant que durerait la construction, Sarah resterait en vie.C'est ainsi qu'a commencé l'histoire de cette gigantesque et étrange maison... Aujourd'hui, c'est une attraction visitée par des groupes de touristes... Mais les fantômes sont toujours présents... Et la malédiction aussi... Le génie de Max Cabanes et le scénario imparable de Marie-Charlotte Delmas créent un one-shot magnifique pour La Loge Noire.
jeudi 15 janvier 2009
le sacre coeur
C'est en 1874 que l'on décida d'édifier à Paris, une église qui serait consacrée à expier les horreurs de la Commune ainsi que la défaite de la France lors de la guerre qu'elle engagea contre la Prusse.C'est sur la colline de Montmartre, au nord de la capitale, que la Basilique du Sacré-Coeur trouva sa place.Depuis le parvis, devant la Basilique, on profite d'une vue exceptionnelle sur Paris.Le Sacré-Coeur doit son nom au fait qu'il est entièrement consacrée au coeur du Christ.Les plus courageux, qui graviront les 237 marches qui mènent au Dôme du Sacré-Coeur à plus de 200 mètres au dessus de sol, jouiront d'un panorama privilégié à 50 kilomètres à la ronde.Le Sacré-Coeur renferme une superbe mosaïque, la plus grande du monde. 475 m² recouvre le plafond de l'abside, une oeuvre représentant Jésus glorifié. C'est également dans cette Basilique que se trouve la plus grosse cloche de France. Fondue à Annecy en 1895 elle mesure 3 mètres de diamètre !Pour visiter cet édifice exceptionnel, il suffit de gravie la longue file d'escaliers qui mènent au sommet de la butte Montmartre ... Ou d'emprunter le funiculaire
L'arc de triomphe
Les premiers arcs de triomphe ont été créés pendant la Rome antique. L'arc de triomphe de l'Étoile a été construit à Paris pour célébrer les victoires et les généraux du Ier Empire. La construction de l'arc de triomphe fût ordonnée en 1806 par Napoléon Ier. La construction de l'arc de triomphe fut interrompue, puis abandonnée sous la Restauration. L'arc de triomphe de l'Étoile fût finalement inauguré le 29 juillet 1836. Depuis 1923, l' arc de triomphe de l'Etoile accueille la flamme et la tombe du Soldat Inconnu. En France 15 autres arcs de triomphe existent de nos jours tels que l'arc de triomphe du Carrousel construit en hommage à la Grande Armée.
LA grande muraille de Chine
La Tour CN (en anglais CN Tower) ou la Tour du CN ou, officiellement, la Tour nationale du Canada est une tour de 553,33 mètres située dans le centre de Toronto, au Canada, qui est devenue l'emblème de cette ville. La tour est parfois appelée la Tour du Canadien National car la compagnie ferroviaire du Canadien National (CN) était le propriétaire de la tour.
Les touristes peuvent accéder seulement à mi-hauteur à une plate-forme comportant plusieurs niveaux entre 342 m et 351 m d'altitude : un restaurant tournant (qui accomplit un tour complet en 72 minutes), une plate-forme d'observation, ainsi qu'un plancher transparent.
Elle a été construite en 1976 par le Canadien National (CN) qui désirait montrer la force de l'industrie canadienne en construisant le plus haut édifice du monde. Originellement prévue comme une antenne pour la radio et la télévision, elle est aujourd'hui une des principales attractions touristiques de Toronto. En 1995, la Société immobilière du Canada a acheté la tour. Cette société de la Couronne l'a depuis renommée Tour nationale du Canada, une appellation moins courante que tour CN.Le Sky Pod (une petite plate-forme qui se trouve bien au-dessus de l'étage principal d'observation) est situé à 447 m, et est le plus haut poste d'observation ouvert au public au monde. Accéder au Sky Pod se fait en payant un supplément.D'après le livre Guinness des records, la Tour CN était « la plus haute structure autoportante du monde ». Le 13 septembre 2007, le Burj Dubaï dépasse la Tour CN, ce qui lui fait perdre son titre de plus haute structure autoportante du monde.La Tour CN fait partie des sept merveilles du monde moderne, selon l'American Society of Civil Engineers. Elle appartient aussi à la Fédération des grandes tours du monde. Elle est le thème central du roman Ainsi parle la Tour CN du poète et romancier francophone torontois Hédi Bouraoui.Donc en perspective, si les Tours Jumelles de Petronas à Kuala Lampur, et, plus récemment, la Tour Taipeï 101 de Taipeï sont les plus hauts immeubles du monde, la tour CN de Toronto reste le 2e plus haut édifice.La Tour CN a été et continue à être employée comme tour de communications pour un certain nombre de différents médias, et par de nombreuses compagniesLa Tour, comme le reste de la ville, a été construite sur un important corridor de migration d'oiseaux. Un problème pour partie quantifié est celui de l'éclairage nocturne qui à Toronto semble responsable d'un grand nombre de collision de ces oiseaux avec des surfaces vitrées, antennes ou superstructures construites. Ce phénomène, souvent désigné par le nom de pollution lumineuse a des impacts qui dépassent de loin ceux du roadkill, qui est dense en ville. Le programme Fatal Light Awarness Program (FLAP) a en effet collecté près de 3 000 cadavres d'oiseaux aux pieds des tours de Toronto en un an, notamment aux pieds de la Tour du CN. À ce nombre de cadavres, il faudrait ajouter les nombreux oiseaux blessés qui se sont cachés pour mourir, ou ceux emportés par des chats ou des rats avant d'avoir pu être comptés. Par extrapolation, le programme FLAP estime de un à dix millions le nombre d'oiseaux migrateurs qui sont tués annuellement par collision avec des immeubles à Toronto. La fourchette est large, car on ignore le nombre d'oiseaux blessés par rapport à celui de ceux qui sont tués sur le coup, et combien parmi eux s'en remettront. D'autres études faites à Chicago ont montré que l'extinction des lumières de bureaux la nuit réduisait le nombre des collisions de 83 %, et on sait que depuis que l'on éclaire le fût des phares, les oiseaux ne sont plus attirés ni tués par millions comme ils l'étaient avant, attirés par les puissantes lampes tournantes.La pollution électromagnétique, à laquelle contribuent les grandes antennes, est souvent évoquée, mais sans pour autant qu'un consensus scientifique clair soit établi sur l'importance de ses impacts sur la santé humaine et sur celle des animaux.
Les touristes peuvent accéder seulement à mi-hauteur à une plate-forme comportant plusieurs niveaux entre 342 m et 351 m d'altitude : un restaurant tournant (qui accomplit un tour complet en 72 minutes), une plate-forme d'observation, ainsi qu'un plancher transparent.
Elle a été construite en 1976 par le Canadien National (CN) qui désirait montrer la force de l'industrie canadienne en construisant le plus haut édifice du monde. Originellement prévue comme une antenne pour la radio et la télévision, elle est aujourd'hui une des principales attractions touristiques de Toronto. En 1995, la Société immobilière du Canada a acheté la tour. Cette société de la Couronne l'a depuis renommée Tour nationale du Canada, une appellation moins courante que tour CN.Le Sky Pod (une petite plate-forme qui se trouve bien au-dessus de l'étage principal d'observation) est situé à 447 m, et est le plus haut poste d'observation ouvert au public au monde. Accéder au Sky Pod se fait en payant un supplément.D'après le livre Guinness des records, la Tour CN était « la plus haute structure autoportante du monde ». Le 13 septembre 2007, le Burj Dubaï dépasse la Tour CN, ce qui lui fait perdre son titre de plus haute structure autoportante du monde.La Tour CN fait partie des sept merveilles du monde moderne, selon l'American Society of Civil Engineers. Elle appartient aussi à la Fédération des grandes tours du monde. Elle est le thème central du roman Ainsi parle la Tour CN du poète et romancier francophone torontois Hédi Bouraoui.Donc en perspective, si les Tours Jumelles de Petronas à Kuala Lampur, et, plus récemment, la Tour Taipeï 101 de Taipeï sont les plus hauts immeubles du monde, la tour CN de Toronto reste le 2e plus haut édifice.La Tour CN a été et continue à être employée comme tour de communications pour un certain nombre de différents médias, et par de nombreuses compagniesLa Tour, comme le reste de la ville, a été construite sur un important corridor de migration d'oiseaux. Un problème pour partie quantifié est celui de l'éclairage nocturne qui à Toronto semble responsable d'un grand nombre de collision de ces oiseaux avec des surfaces vitrées, antennes ou superstructures construites. Ce phénomène, souvent désigné par le nom de pollution lumineuse a des impacts qui dépassent de loin ceux du roadkill, qui est dense en ville. Le programme Fatal Light Awarness Program (FLAP) a en effet collecté près de 3 000 cadavres d'oiseaux aux pieds des tours de Toronto en un an, notamment aux pieds de la Tour du CN. À ce nombre de cadavres, il faudrait ajouter les nombreux oiseaux blessés qui se sont cachés pour mourir, ou ceux emportés par des chats ou des rats avant d'avoir pu être comptés. Par extrapolation, le programme FLAP estime de un à dix millions le nombre d'oiseaux migrateurs qui sont tués annuellement par collision avec des immeubles à Toronto. La fourchette est large, car on ignore le nombre d'oiseaux blessés par rapport à celui de ceux qui sont tués sur le coup, et combien parmi eux s'en remettront. D'autres études faites à Chicago ont montré que l'extinction des lumières de bureaux la nuit réduisait le nombre des collisions de 83 %, et on sait que depuis que l'on éclaire le fût des phares, les oiseaux ne sont plus attirés ni tués par millions comme ils l'étaient avant, attirés par les puissantes lampes tournantes.La pollution électromagnétique, à laquelle contribuent les grandes antennes, est souvent évoquée, mais sans pour autant qu'un consensus scientifique clair soit établi sur l'importance de ses impacts sur la santé humaine et sur celle des animaux.
La tour C.N
La Tour CN (en anglais CN Tower) ou la Tour du CN ou, officiellement, la Tour nationale du Canada est une tour de 553,33 mètres située dans le centre de Toronto, au Canada, qui est devenue l'emblème de cette ville. La tour est parfois appelée la Tour du Canadien National car la compagnie ferroviaire du Canadien National (CN) était le propriétaire de la tour.
Les touristes peuvent accéder seulement à mi-hauteur à une plate-forme comportant plusieurs niveaux entre 342 m et 351 m d'altitude : un restaurant tournant (qui accomplit un tour complet en 72 minutes), une plate-forme d'observation, ainsi qu'un plancher transparent.
Elle a été construite en 1976 par le Canadien National (CN) qui désirait montrer la force de l'industrie canadienne en construisant le plus haut édifice du monde. Originellement prévue comme une antenne pour la radio et la télévision, elle est aujourd'hui une des principales attractions touristiques de Toronto. En 1995, la Société immobilière du Canada a acheté la tour. Cette société de la Couronne l'a depuis renommée Tour nationale du Canada, une appellation moins courante que tour CN.Le Sky Pod (une petite plate-forme qui se trouve bien au-dessus de l'étage principal d'observation) est situé à 447 m, et est le plus haut poste d'observation ouvert au public au monde. Accéder au Sky Pod se fait en payant un supplément.D'après le livre Guinness des records, la Tour CN était « la plus haute structure autoportante du monde ». Le 13 septembre 2007, le Burj Dubaï dépasse la Tour CN, ce qui lui fait perdre son titre de plus haute structure autoportante du monde.La Tour CN fait partie des sept merveilles du monde moderne, selon l'American Society of Civil Engineers. Elle appartient aussi à la Fédération des grandes tours du monde. Elle est le thème central du roman Ainsi parle la Tour CN du poète et romancier francophone torontois Hédi Bouraoui.Donc en perspective, si les Tours Jumelles de Petronas à Kuala Lampur, et, plus récemment, la Tour Taipeï 101 de Taipeï sont les plus hauts immeubles du monde, la tour CN de Toronto reste le 2e plus haut édifice.La Tour CN a été et continue à être employée comme tour de communications pour un certain nombre de différents médias, et par de nombreuses compagniesLa Tour, comme le reste de la ville, a été construite sur un important corridor de migration d'oiseaux. Un problème pour partie quantifié est celui de l'éclairage nocturne qui à Toronto semble responsable d'un grand nombre de collision de ces oiseaux avec des surfaces vitrées, antennes ou superstructures construites. Ce phénomène, souvent désigné par le nom de pollution lumineuse a des impacts qui dépassent de loin ceux du roadkill, qui est dense en ville. Le programme Fatal Light Awarness Program (FLAP) a en effet collecté près de 3 000 cadavres d'oiseaux aux pieds des tours de Toronto en un an, notamment aux pieds de la Tour du CN. À ce nombre de cadavres, il faudrait ajouter les nombreux oiseaux blessés qui se sont cachés pour mourir, ou ceux emportés par des chats ou des rats avant d'avoir pu être comptés. Par extrapolation, le programme FLAP estime de un à dix millions le nombre d'oiseaux migrateurs qui sont tués annuellement par collision avec des immeubles à Toronto. La fourchette est large, car on ignore le nombre d'oiseaux blessés par rapport à celui de ceux qui sont tués sur le coup, et combien parmi eux s'en remettront. D'autres études faites à Chicago ont montré que l'extinction des lumières de bureaux la nuit réduisait le nombre des collisions de 83 %, et on sait que depuis que l'on éclaire le fût des phares, les oiseaux ne sont plus attirés ni tués par millions comme ils l'étaient avant, attirés par les puissantes lampes tournantes.La pollution électromagnétique, à laquelle contribuent les grandes antennes, est souvent évoquée, mais sans pour autant qu'un consensus scientifique clair soit établi sur l'importance de ses impacts sur la santé humaine et sur celle des animaux.
Les touristes peuvent accéder seulement à mi-hauteur à une plate-forme comportant plusieurs niveaux entre 342 m et 351 m d'altitude : un restaurant tournant (qui accomplit un tour complet en 72 minutes), une plate-forme d'observation, ainsi qu'un plancher transparent.
Elle a été construite en 1976 par le Canadien National (CN) qui désirait montrer la force de l'industrie canadienne en construisant le plus haut édifice du monde. Originellement prévue comme une antenne pour la radio et la télévision, elle est aujourd'hui une des principales attractions touristiques de Toronto. En 1995, la Société immobilière du Canada a acheté la tour. Cette société de la Couronne l'a depuis renommée Tour nationale du Canada, une appellation moins courante que tour CN.Le Sky Pod (une petite plate-forme qui se trouve bien au-dessus de l'étage principal d'observation) est situé à 447 m, et est le plus haut poste d'observation ouvert au public au monde. Accéder au Sky Pod se fait en payant un supplément.D'après le livre Guinness des records, la Tour CN était « la plus haute structure autoportante du monde ». Le 13 septembre 2007, le Burj Dubaï dépasse la Tour CN, ce qui lui fait perdre son titre de plus haute structure autoportante du monde.La Tour CN fait partie des sept merveilles du monde moderne, selon l'American Society of Civil Engineers. Elle appartient aussi à la Fédération des grandes tours du monde. Elle est le thème central du roman Ainsi parle la Tour CN du poète et romancier francophone torontois Hédi Bouraoui.Donc en perspective, si les Tours Jumelles de Petronas à Kuala Lampur, et, plus récemment, la Tour Taipeï 101 de Taipeï sont les plus hauts immeubles du monde, la tour CN de Toronto reste le 2e plus haut édifice.La Tour CN a été et continue à être employée comme tour de communications pour un certain nombre de différents médias, et par de nombreuses compagniesLa Tour, comme le reste de la ville, a été construite sur un important corridor de migration d'oiseaux. Un problème pour partie quantifié est celui de l'éclairage nocturne qui à Toronto semble responsable d'un grand nombre de collision de ces oiseaux avec des surfaces vitrées, antennes ou superstructures construites. Ce phénomène, souvent désigné par le nom de pollution lumineuse a des impacts qui dépassent de loin ceux du roadkill, qui est dense en ville. Le programme Fatal Light Awarness Program (FLAP) a en effet collecté près de 3 000 cadavres d'oiseaux aux pieds des tours de Toronto en un an, notamment aux pieds de la Tour du CN. À ce nombre de cadavres, il faudrait ajouter les nombreux oiseaux blessés qui se sont cachés pour mourir, ou ceux emportés par des chats ou des rats avant d'avoir pu être comptés. Par extrapolation, le programme FLAP estime de un à dix millions le nombre d'oiseaux migrateurs qui sont tués annuellement par collision avec des immeubles à Toronto. La fourchette est large, car on ignore le nombre d'oiseaux blessés par rapport à celui de ceux qui sont tués sur le coup, et combien parmi eux s'en remettront. D'autres études faites à Chicago ont montré que l'extinction des lumières de bureaux la nuit réduisait le nombre des collisions de 83 %, et on sait que depuis que l'on éclaire le fût des phares, les oiseaux ne sont plus attirés ni tués par millions comme ils l'étaient avant, attirés par les puissantes lampes tournantes.La pollution électromagnétique, à laquelle contribuent les grandes antennes, est souvent évoquée, mais sans pour autant qu'un consensus scientifique clair soit établi sur l'importance de ses impacts sur la santé humaine et sur celle des animaux.
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