La Tour CN (en anglais CN Tower) ou la Tour du CN ou, officiellement, la Tour nationale du Canada est une tour de 553,33 mètres située dans le centre de Toronto, au Canada, qui est devenue l'emblème de cette ville. La tour est parfois appelée la Tour du Canadien National car la compagnie ferroviaire du Canadien National (CN) était le propriétaire de la tour.
Les touristes peuvent accéder seulement à mi-hauteur à une plate-forme comportant plusieurs niveaux entre 342 m et 351 m d'altitude : un restaurant tournant (qui accomplit un tour complet en 72 minutes), une plate-forme d'observation, ainsi qu'un plancher transparent.
Elle a été construite en 1976 par le Canadien National (CN) qui désirait montrer la force de l'industrie canadienne en construisant le plus haut édifice du monde. Originellement prévue comme une antenne pour la radio et la télévision, elle est aujourd'hui une des principales attractions touristiques de Toronto. En 1995, la Société immobilière du Canada a acheté la tour. Cette société de la Couronne l'a depuis renommée Tour nationale du Canada, une appellation moins courante que tour CN.Le Sky Pod (une petite plate-forme qui se trouve bien au-dessus de l'étage principal d'observation) est situé à 447 m, et est le plus haut poste d'observation ouvert au public au monde. Accéder au Sky Pod se fait en payant un supplément.D'après le livre Guinness des records, la Tour CN était « la plus haute structure autoportante du monde ». Le 13 septembre 2007, le Burj Dubaï dépasse la Tour CN, ce qui lui fait perdre son titre de plus haute structure autoportante du monde.La Tour CN fait partie des sept merveilles du monde moderne, selon l'American Society of Civil Engineers. Elle appartient aussi à la Fédération des grandes tours du monde. Elle est le thème central du roman Ainsi parle la Tour CN du poète et romancier francophone torontois Hédi Bouraoui.Donc en perspective, si les Tours Jumelles de Petronas à Kuala Lampur, et, plus récemment, la Tour Taipeï 101 de Taipeï sont les plus hauts immeubles du monde, la tour CN de Toronto reste le 2e plus haut édifice.La Tour CN a été et continue à être employée comme tour de communications pour un certain nombre de différents médias, et par de nombreuses compagniesLa Tour, comme le reste de la ville, a été construite sur un important corridor de migration d'oiseaux. Un problème pour partie quantifié est celui de l'éclairage nocturne qui à Toronto semble responsable d'un grand nombre de collision de ces oiseaux avec des surfaces vitrées, antennes ou superstructures construites. Ce phénomène, souvent désigné par le nom de pollution lumineuse a des impacts qui dépassent de loin ceux du roadkill, qui est dense en ville. Le programme Fatal Light Awarness Program (FLAP) a en effet collecté près de 3 000 cadavres d'oiseaux aux pieds des tours de Toronto en un an, notamment aux pieds de la Tour du CN. À ce nombre de cadavres, il faudrait ajouter les nombreux oiseaux blessés qui se sont cachés pour mourir, ou ceux emportés par des chats ou des rats avant d'avoir pu être comptés. Par extrapolation, le programme FLAP estime de un à dix millions le nombre d'oiseaux migrateurs qui sont tués annuellement par collision avec des immeubles à Toronto. La fourchette est large, car on ignore le nombre d'oiseaux blessés par rapport à celui de ceux qui sont tués sur le coup, et combien parmi eux s'en remettront. D'autres études faites à Chicago ont montré que l'extinction des lumières de bureaux la nuit réduisait le nombre des collisions de 83 %, et on sait que depuis que l'on éclaire le fût des phares, les oiseaux ne sont plus attirés ni tués par millions comme ils l'étaient avant, attirés par les puissantes lampes tournantes.La pollution électromagnétique, à laquelle contribuent les grandes antennes, est souvent évoquée, mais sans pour autant qu'un consensus scientifique clair soit établi sur l'importance de ses impacts sur la santé humaine et sur celle des animaux.
Les touristes peuvent accéder seulement à mi-hauteur à une plate-forme comportant plusieurs niveaux entre 342 m et 351 m d'altitude : un restaurant tournant (qui accomplit un tour complet en 72 minutes), une plate-forme d'observation, ainsi qu'un plancher transparent.
Elle a été construite en 1976 par le Canadien National (CN) qui désirait montrer la force de l'industrie canadienne en construisant le plus haut édifice du monde. Originellement prévue comme une antenne pour la radio et la télévision, elle est aujourd'hui une des principales attractions touristiques de Toronto. En 1995, la Société immobilière du Canada a acheté la tour. Cette société de la Couronne l'a depuis renommée Tour nationale du Canada, une appellation moins courante que tour CN.Le Sky Pod (une petite plate-forme qui se trouve bien au-dessus de l'étage principal d'observation) est situé à 447 m, et est le plus haut poste d'observation ouvert au public au monde. Accéder au Sky Pod se fait en payant un supplément.D'après le livre Guinness des records, la Tour CN était « la plus haute structure autoportante du monde ». Le 13 septembre 2007, le Burj Dubaï dépasse la Tour CN, ce qui lui fait perdre son titre de plus haute structure autoportante du monde.La Tour CN fait partie des sept merveilles du monde moderne, selon l'American Society of Civil Engineers. Elle appartient aussi à la Fédération des grandes tours du monde. Elle est le thème central du roman Ainsi parle la Tour CN du poète et romancier francophone torontois Hédi Bouraoui.Donc en perspective, si les Tours Jumelles de Petronas à Kuala Lampur, et, plus récemment, la Tour Taipeï 101 de Taipeï sont les plus hauts immeubles du monde, la tour CN de Toronto reste le 2e plus haut édifice.La Tour CN a été et continue à être employée comme tour de communications pour un certain nombre de différents médias, et par de nombreuses compagniesLa Tour, comme le reste de la ville, a été construite sur un important corridor de migration d'oiseaux. Un problème pour partie quantifié est celui de l'éclairage nocturne qui à Toronto semble responsable d'un grand nombre de collision de ces oiseaux avec des surfaces vitrées, antennes ou superstructures construites. Ce phénomène, souvent désigné par le nom de pollution lumineuse a des impacts qui dépassent de loin ceux du roadkill, qui est dense en ville. Le programme Fatal Light Awarness Program (FLAP) a en effet collecté près de 3 000 cadavres d'oiseaux aux pieds des tours de Toronto en un an, notamment aux pieds de la Tour du CN. À ce nombre de cadavres, il faudrait ajouter les nombreux oiseaux blessés qui se sont cachés pour mourir, ou ceux emportés par des chats ou des rats avant d'avoir pu être comptés. Par extrapolation, le programme FLAP estime de un à dix millions le nombre d'oiseaux migrateurs qui sont tués annuellement par collision avec des immeubles à Toronto. La fourchette est large, car on ignore le nombre d'oiseaux blessés par rapport à celui de ceux qui sont tués sur le coup, et combien parmi eux s'en remettront. D'autres études faites à Chicago ont montré que l'extinction des lumières de bureaux la nuit réduisait le nombre des collisions de 83 %, et on sait que depuis que l'on éclaire le fût des phares, les oiseaux ne sont plus attirés ni tués par millions comme ils l'étaient avant, attirés par les puissantes lampes tournantes.La pollution électromagnétique, à laquelle contribuent les grandes antennes, est souvent évoquée, mais sans pour autant qu'un consensus scientifique clair soit établi sur l'importance de ses impacts sur la santé humaine et sur celle des animaux.
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